Fashion victim, What else ? ...

Et oui, "what else ?". Si comme moi vous êtes passionnés par la mode, que dis-je? les modes, à l'affut des dernières tendances, .... , je vous invite à partager mes coups de cœur, à découvrir mes e-boutiques préférées, à consulter mes derniers achats.

De plus, si vous aimez les "potins", du moins si vous êtes amateurs de "short-story", je vous propose un petit moment de détente en suivant les aventures de Janee Fair. (2 potins max par semaine)



Yep, "what else ?". If you're keen on fashion, what am I saying?, a fashions lover, looking out for the last trends, ... , I invite you for a share in my very favorites, to have a pick in in my favorite e-shops and have a look in my last purchases.

Besides, if you like "short-story", I propose you a small moment of relaxation by following the adventures of Janee Fair. (2 stories per week)

jeudi 20 mai 2010

Janee Fair - Et il en pense quoi le psy ? ...

Les jours ont passé vite car nous voilà déjà au mercredi 11 et il est exactement 19h31.
Je vais enfin pouvoir partager mes sentiments et avoir l'avis de quelqu'un d'éclairé et non partisan comme peuvent l'être Mumu et Jef sur ma situation.

Dr Legrand : Mademoiselle Fair ? A nous.
Janee Fair : Bonsoir Docteur.
Dr L. : Je vous en prie, asseyez-vous ?
Je me dirige comme d'habitude  vers mon fauteuil et commence à lui raconter tout ce qui m'est arrivé d'important depuis notre dernière séance il y a de cela deux semaines.
Je commence à lui parler de mon boulot et lui explique qu'en ce moment ce n'est pas la grande forme car je suis débordée. Comme nous devons boucler la collection prochaine les rendez-vous s'enchaînent et la fatigue aussi.
Je poursuis mon monologue en lui parlant cette fois-ci de mon frère Richard qui a appelé dimanche dernier et qui avait une bonne nouvelle à nous annoncer. Kerry et lui seront d'heureux parents d'ici quelques mois et ça c'est super.

J.F : Vous savez docteur. Cela faisait longtemps que j'attendais ça, devenir une tata. Je vais pouvoir pouponner. Et à dire vrai, j'aimerais bien que ce soit une fille. ah oui, j'imagine déjà.
Dr L. : C'est une bonne chose que cela vous apporte une note positive dans votre vie, mais faites attention à ne pas idéaliser une situation inconnue et qui risque probablement de ne pas se passer comme vous le souhaitez. Si vous y réfléchissez, pensez-vous vraiment que vous pourrez pouponner ? Si je me rappelle bien, votre frère vit à environ huit milles kilomètres d'ici. Cela risque donc d'être difficile, non ? Sinon, pourquoi cette préférence pour une fille ? Vous en avez une idée ?
J.F : C'est sûr que je ne pourrai pas pouponner au quotidien mais ce sera quand même sympa quand ils viendront et quand j'irai les voir à Saint-Martin. Maintenant qu'il y a ce bébé qui arrive, j'irai encore plus souvent les voir. Et puis j'espère que ce sera une fille pour être sa confidente, sa conseillère en amour ou encore pour l'aider à choisir ses tenues vestimentaires, pour lui offrir plein de choses, ... et puis je ne sais pas exactement mais pour un tas d'autres raisons.
Dr L. : J'aimerais que pour notre prochaine séance vous repensiez à ce que je vais vous dire, il ne s'agit pas de votre enfant mademoiselle Fair mais de celui de votre frère et de votre belle-soeur. Sa mère, qu'il s'agisse d'une fille ou d'un garçon, sera votre belle-soeur, et c'est à elle qu'il se confiera en premier surtout dans ses premières années.
D'accord ?
J.F : Très bien, j'y repenserai.
Dr L. : On s'arrête là ? ou y a t-il autre chose que vous souhaitiez évoquer ?
J.F : Oui juste avant de partir si on a quelques minutes, je souhaiterais vous parler de Harry.

Et là, mon coeur s'emballe. Par où commencer. Je souffle un bon coup et lui dit, "voilà docteur, lors de notre dernière séance je vous disais avoir envie de tenter ma chance avec Harry mais que j'étais très inquiète parce que d'une, depuis mes malheurs, j'ai peu de confiance en moi et que de deux ,il est en mission au sein de la société jusqu'à mi-juillet. Et bien depuis, il s'est passé pas mal de chose."

Il est vrai que si nous devons vivre quelque chose tous les deux nous commençons une drôle d'aventure ou de drôles d'aventures. Entre le week-end à Jersey mêlé de confusions, de pertes de mémoire, bien heureusement retrouvée, et le retour au boulot, on peut dire que les événements se succèdent jour après jour.

Après m'être rappelée ces quelques mots "I've been waiting for a long time but now I found you. I'm here to do my best and win your heart." et de l'ensemble de notre soirée à Jersey, il m'était difficile d'envisager un avenir pour nous deux.

J.F : Je vous demandais votre avis sur ce que je devais faire car sa mission prend fin maintenant dans un mois et demi et qu'ensuite c'est le grand départ vers les Etats-Unis. Si vous vous souvenez, il doit y retrouver sa mère. Et bien depuis vendredi j'ai appris qu'il devait y retrouver aussi Hannah, sa fiancée. 
Ah oui, ça aussi, je ne vous l'ai pas dit. Vendredi soir il m'a invitée à dîner, .... et j'ai accepté.
Dr L. : Nous allons manquer de temps. Je pense qu'il faudra que l'on rediscute de tout cela Mademoiselle Fair. Si vous sentez que les choses vont bien, je vous propose un rendez-vous dans deux semaines, si non, je vous revois la semaine prochaine.
Vous préférez quoi ?
J.F : La semaine prochaine s'il vous plaît. Je crois qu'il vaut mieux, autrement je risque de me torturer. C'est vrai que je me suis dispersée dans toutes mes explications.
Dr L. : Alors mercredi 18 même heure ?
J.F : Très bien.
Et je pars en me disant que je n'ai plus qu'à me contenter de cela et que la prochaine fois, je ferais mieux de commencer par les choses importantes.

En arrivant à la maison, le téléphone qui sonne.
"May I come right away ?"
C'est Harry.

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