Fashion victim, What else ? ...

Et oui, "what else ?". Si comme moi vous êtes passionnés par la mode, que dis-je? les modes, à l'affut des dernières tendances, .... , je vous invite à partager mes coups de cœur, à découvrir mes e-boutiques préférées, à consulter mes derniers achats.

De plus, si vous aimez les "potins", du moins si vous êtes amateurs de "short-story", je vous propose un petit moment de détente en suivant les aventures de Janee Fair. (2 potins max par semaine)



Yep, "what else ?". If you're keen on fashion, what am I saying?, a fashions lover, looking out for the last trends, ... , I invite you for a share in my very favorites, to have a pick in in my favorite e-shops and have a look in my last purchases.

Besides, if you like "short-story", I propose you a small moment of relaxation by following the adventures of Janee Fair. (2 stories per week)

jeudi 27 mai 2010

Janee Fair - Et bien alors ?! ... Que s'est-il passé ?

J.F : Gosh ! You scared me !
H.C : Am I so terrible ?
J.F : Well, you're not. But I wasn't expecting a visit at this particular point in time. We're on friday and mostly, 90 or 99%  of our fellows had left the office at 4:00 pm sharp.
H.C : Probably because they have an other life to live outside. Actually, those who are here are wether executives or single people. What do you think ?
J.F : Huuum. Maybe you're right.
H.C : I have a suggestion.
J.F : Yep. I'm open. What do you propose ?
H.C : Would you mind change this and accept my invitation ?
J.F : Invitation accepted !

Et c'est ainsi que commence notre soirée. Quand j'y pense, il y a de cela quelques semaines, même quelques mois, je rêvais d'un jour comme aujourd'hui. Et nous y voilà. Le comble, c'est que je me sens bien comme si nous avions toujours été très proches.
Le temps pour lui d'aller chercher ses affaires et pour moi de finir mon courrier et d'éteindre mon ordinateur, nous nous mettons en route, direction Mouffetard.
Je n'ai pas choisi le plus proche mais c'est un quartier que j'adore, et même si cela fait une trotte depuis le boulot je n'hésite pas une seconde sachant que Harry a proposé de me raccompagner une fois la soirée passée.

Nous voilà dans le RER en direction de Châtelet les Halles où une longue correspondance nous attend vers Châtelet et la ligne 7 du métro. Le terminus de notre périple sera Censier Daubenton.

Nous avons de bonne minutes devant nous et en profitons pour revenir sur des moments précis de ces derniers jours.
Jersey où il a pu me voir sous un autre angle. Une fille un peu désespérée par le malchance qui lui colle à la peau, du moins une fille triste qui ne demande pas grand chose et ne rêve que d'une seule chose, avoir droit à sa part de bonheur. Une fille hantée par les mêmes questions sur son avenir sentimental et familial. Une femme, qui a besoin d'amour et de tendresse.
Et puis, je reviens aussi sur un événement mineur de la journée où nous nous sommes bousculés devant les toilettes.
C'est peut-être bête, mais ce matin je me demandais encore si les déclarations qu'il m'avait faites à Jersey étaient toujours d'actualité et ne m'attendais certainement pas à une invitation à dîner ce soir.

H.C : Ah ça. Je t'expliquerai plus tard quand on aura sélectionné notre restaurant et que l'on sera assis à notre table devant un bon verre de vin. Okay ?
J.F : Si tu préfères. Mais à vrai dire tout ce suspens m'inquiète.
H.C : Il ne faut pas.

Nous arrivons enfin à Mouffetard et c'est moi qui choisit le restaurant. Ce soir nous mangerons indien. J'en connais un très bon tout en haut de la rue, d'ailleurs c'est la rue Descartes, et si je me rappelle bien c'est le restaurant Ellora, à moins qu'ils aient changé de nom ou qu'il n'existe plus. Ca fait longtemps que je ne suis pas venue, au moins deux ans.

Ca y est, nous y arrivons et c'est avec plaisir que je constate qu'ils sont toujours là. Nous nous installons à une table de deux et commandons un apéritif.
"Pour moi ce sera un martini blanc olive s'il vous plaît. Et pour moi un whisky on the rocks, un whisky glace. Merci.".
Nous le prenons lentement tout en faisant la lecture de la carte, et poursuivons notre discussion.

Il est vraiment drôle. Depuis notre départ de la société il me raconte des anecdotes sur son enfance qui me font mourir de rire, comme par exemple le jour où il a du se jeter dans un parc à cochons et se recouvrir de boue et de, ... bref ce que vous pouvez imaginer, pour échapper à un essaim d'abeilles. C'est sûr, il avait détruit leur ruche à coup de pierres. Il les a cherchées et les a trouvées.

Nous nous décidons pour un poulet tandoori. J'ai longtemps hésité avec un agneau tikka massala mais je sais que le tandoori est particulièrement exquis par ici et puis, je choisis aussi en fonction des calories. Je me laisse  alors tenter par le poulet.
"Quel régal !"

J.F : Alors ?
H.C : Alors quoi ?
J.F : Tu m'expliques tes petits secrets ?
H.C : Ah oui. En fait, j'étais pressé car j'avais un rendez-vous avec le responsable de mon pôle sur un projet à long terme au sein de la boîte. Comme tu sais, je dois partir mi-juillet. Comment dire? Je devais partir mi-juillet.
J.F : Tu restes ?
H.C : Oui. Mais c'est un peu plus compliqué que ça. Je serai tout même absent pendant un mois. Je reviendrai, mais je dois rentrer aux Etats-Unis pour régler des affaires personnelles. Je rentre retrouver ma mère, mais aussi quelqu'un d'autre dont je ne t'ai pas encore parlé.

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