Fashion victim, What else ? ...

Et oui, "what else ?". Si comme moi vous êtes passionnés par la mode, que dis-je? les modes, à l'affut des dernières tendances, .... , je vous invite à partager mes coups de cœur, à découvrir mes e-boutiques préférées, à consulter mes derniers achats.

De plus, si vous aimez les "potins", du moins si vous êtes amateurs de "short-story", je vous propose un petit moment de détente en suivant les aventures de Janee Fair. (2 potins max par semaine)



Yep, "what else ?". If you're keen on fashion, what am I saying?, a fashions lover, looking out for the last trends, ... , I invite you for a share in my very favorites, to have a pick in in my favorite e-shops and have a look in my last purchases.

Besides, if you like "short-story", I propose you a small moment of relaxation by following the adventures of Janee Fair. (2 stories per week)

vendredi 4 juin 2010

Janee Fair - J'ai besoin d'aide "Allo. Mumu ?! ..."

J.F : Allo, Mumu ?! .... Je n'ai pas eu le temps de dire ouf ! Au ... se ... cours !

La porte que j'ouvrais à demi s'ouvre en grand et se referme aussitôt dans un fracas terrible. Je ne comprends rien à ce qui m'arrive.

L'espace de deux secondes, ma bouche est prise en otage, mon tee-shirt s'élève vers le ciel et retombe dans la foulée à mes pieds. Je suis enveloppée de toute part par des bras fermes mais d'une douceur incroyable.
J'ai froid, .... non plutôt chaud, ... et puis zut, je n'en sais rien. Je suis juste bien.
Comme une plume, je suis en suspension dans les airs. Je suis debout, ... non plus maintenant.
Suis-je toujours dans mon salon ? Je crois reconnaître tous les éléments qui m'entourent.
Mais tous ces vertiges ! Je ne sais plus ni qui, ni où je suis.
Il me semble bien que je sois toujours à la maison. D'ailleurs, je me trouve actuellement allongée sur mon canapé, si c'est encore le mien.
Une main s'égare sur mon sein droit, l'autre se perd dans mes cheveux, un souffle dans mon cou me fait frémir et à nouveau, ma bouche est baisée à plusieurs reprises et ce, en toute délicatesse.
Que c'est bon. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu droit à autant d'attention, à autant de tendresse. Beaucoup d'années se sont passées avant que je ne connaisse ça, mais ça en valait la peine. Enfin un homme qui pense à moi. Il prend le temps de me voir, il prend le temps qu'il faut pour ouvrir chacune de mes sources  de plaisir.
Petit à petit, chaque partie de ma corps retrouve sa nature originelle. 
A l'heure qu'il est je suis Eve dans son jardin, complètement nue. Je rêve ? Oui, je rêve. Je suis dans mon salon, complètement nue.
Non pas plus ! Ca suffit ! Si ça continue je vais .... mourir ?! ... Non, pas ça !
Sa main se faufile dans mon entrejambe jusqu'à atteindre la source "d'eau chaude" qu'est devenu la partie la plus intime de mon corps.
Il se redresse, me regarde fixement et, très lentement se défait de sa peau textile. Il, non .... je rêve, il ... il est nu dans mon salon.
Qu'il est beau. Dans mes yeux il n'est plus le même, il est plus beau que jamais aujourd'hui. Son corps athlétique me donne le tournis. Je ne pensais pas que sous ces vêtements se cachaient un corps d'une telle  perfection d'une telle beauté. Il est magnifique.C'est une toile de Van-Gogh que j'essaye d'imprimer dans ma mémoire.
J'ai à peine le temps de réaliser qu'il se penche à nouveau vers moi, m'embrasse avec subtilité, me caresse encore et encore et, nous ne formons plus qu'un.
Je décolle pour un pays lointain, inconnu jusqu'à lors. Après un tel take-off comment vais-je réussir un atterrissage sans douleur.
Réveillez-moi rapidement si c'est un rêve car le réveil serait trop brutal et douloureux. Si c'est la réalité, je vous en supplie, rallongez les secondes, les minutes, les heures ... que cet instant dure le plus longtemps possible.
De moi, je ne reconnais plus rien. Je découvre une autre personne. Toutes ces années j'ai cru me connaître et là, je dois réapprendre qui je suis, ce que je suis. Je suis une femme, et toutes les parties de mon corps, de mon âme en témoignent ce mercredi 11.
Le moindre millimètre carré de ma peau est fébrile face à l'assaut de ses mains, ses lèvres, son corps tout entier.
Est-ce bien vrai, je pleure ? Je n'ai jamais connu ça auparavant. Pour la première fois de ma vie je sais ce qu'est la jouissance du corps et de l'esprit. Si cet homme ne m'accompagne pas jusqu'à la fin de ma vie, je le dis et le pense, j'en mourrai.
Tout en continuant nos plaisirs charnels, il essuie les larmes qui s'écoulent sur mon visage, caresse mes cheveux et me sourit. Il me regarde avec intensité. C'est sûr, il vit la même chose que moi.
Ce qui nous arrive me rappelle les paroles d'une des chansons que j'écoute en ce moment et dont le titre une fois de plus m'échappe
" ...
Conjuguons l'amour aux couleurs de l'arc-en-ciel.
Laisse moi ... te faire sentir
Cet amour qui vibre en moi
Et t'adorer, t'ennivrer dans mes draps.
Ne vois tu pas amor que je veux de toi ?!
Et te caresser, t'enflamer dans le noir.
Comment pourrais-je ?
Pourquoi devrais-je lui résister ?
La désirer serait-il un pécher ?
...
Émotions de nos nuits enflammés,
Restent en moi à tout jamais baby.
Caresser par une douce nuit d'été
Nos corps s'entremêlent amoureux à jamais. ...
 Je t'aime si fort, si fort ..."

ou encore celle-ci
" ...
Toi et moi, yeux dans les yeux,
En tête à tête, en amoureux,
Rien ne nous sépareras,
Nous sommes fais l'un pour l'autre
Toi et moi."

En clair, un vent d'amour a soufflé sur moi. Je suis une femme amoureuse.

J.F : Mumu ?! T'es encore là ? T'en penses quoi ?
Plus rien, du moins juste un cri. Celui d'une femme hystérique.
Mumu : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!

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